"Comment on redevient petit garçon" (L. Morin) quand on a 38 ans et qu'on est un industriel prospère. Un roman - le quatrième de l'auteur - qui "prêche pour la légèreté, l'enfance" (C. Dessurault) mais dans lequel l'antithèse est maniée un peu lourdement. Selon la critique du "Monde", il s'agit d'une sottise prétentieuse qui exhibe un grossier mépris pour le "grand public."
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