Les dialogues culte du cinéma français

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" Atmosphère, atmosphère... Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ? ", " T'as de beaux yeux, tu sais ", " Ah ! toi, il te fait rire, à moi il me fend le cœur "... réveillent le souvenir enfoui de nos plaisirs cinématographiques. Les Dialogues culte du cinéma français nous remettent en mémoire ces échanges qui font la saveur de notre cinéma. L'ouvrage présente les 100 plus beaux dialogues du cinéma français, des débuts du parlant jusqu'à nos jours, soit des années 1930 à la fin des années 1990. De Marius à Marius et Jeannette, en passant par Les Enfants du Paradis, Le Corbeau, Les Aventures de Rabbi Jacob, La Maman et la Putain ou Diva. Chaque film est présenté de manière identique : une introduction situe le film dans son contexte historique et le dialogue dans le film ; chaque extrait dialogué est illustré par au moins une image du film. Les meilleurs scénaristes et réalisateurs y sont présents, les différentes périodes de l'histoire du cinéma français parlant couvertes, les différents styles représentés. Carné, Renoir ou Clouzot y voisinent avec Klapisch ou Kassovitz, mais aussi avec Poiré, Zidi ou Chatilliez. Par sa forme comme par son contenu, Les Dialogues culte du cinéma français devraient séduire tout amateur, jeune ou moins jeune, du 7e art. Un soir, dans le noir, Arletty a murmuré à notre inconscient collectif : " Je ne suis pas belle, je suis vivante, c'est tout " et Gabin : " T'as de beaux yeux, tu sais ", tondis que Jouvet regardait pensivement son couteau en disant : " Bizarre, bizarre... ". L'écran nous a apporté les mêmes rêves, en français dans le texte. Séparément mais ensemble irremplaçable magie du cinéma ! - aux bonnes reparties nous avons souri, et nous sommes esclaffé aux meilleures. De tels souvenirs sont évoqués au fil de ces cent-et-une scènes : séquences, dit-on au cinéma, mais il s'agit moins ici de montages d'images que de répliques et de " mots " (d'auteur, ainsi les qualifie-t-on lorsqu'ils sont bienvenus). Comme au théâtre, en somme. Sauf que, curieusement, les spectateurs semblent se souvenir davantage de paroles échangées à l'écran que sur scène... Ces phrases, dont l'écho est resté en tête, n'étaient pas dues à Gabin ou à Arletty. Ni même à Marcel Carné, le metteur en scène. L'auteur est le dialoguiste, qui tantôt ne fait qu'un avec le cinéaste lui-même, comme dans les cas de Pagnol, Guitry, Cocteau, Marguerite Duras ou Eric Rohmer. Tantôt, le plus souvent, avec le scénariste, celui qui a d'abord raconté l'histoire sur le papier. Jacques Prévert reste le premier, à juste titre : Drôle de drame, Le Quai des brumes, Les Enfants du paradis ne sont qu'une part de son palmarès. Il y avait aussi, en ce temps-là, Charles Spaak, Henri Jeanson ; puis vinrent Jean Aurenche et Pierre Bost, qui firent un retour plus tard grâce à Bertrand Tavernier. Ensuite Michel Audiard, Jean-Claude Carrière, Jean-Loup Dabadie, Danièle Thompson, Jean Cosmos, Coline Serreau, Pascal Bonitzer, et bien d'autres. Ce sont eux les créateurs de ces " dialogues " qui ont donné vie aux personnages, et auxquels les réalisateurs, souvent tenus pour les auteurs " complets " des films, doivent beaucoup. Les dialoguistes du cinéma sont peu à l'honneur : ils le seront dans ces pages. Chacune rappelle la poésie, la verve, l'invention d'œuvres mémorables. Ecoutons, à travers 70 ans d'adolescence - pour reprendre le titre des souvenirs de Jeanson. C'est l'âge du cinéma parlant. Ecoutons voir.

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